The daughter of actress Andie MacDowell, Margaret Qualley has been turning heads ever since she came on the scene. She’s hit the runway in countless shows — Chanel; Valentino — and can currently be seen on HBO’s The Leftovers, which returns for its second season next month. On the occasion of her starring turn in L’Américaine, which features Tory’s Paris Collection, Tory Daily got some one-on-one time with her to chat about the film, inspirational words of wisdom and, of course, Paris.
Working on this film interested me because…
Going to Paris, working with a cute French boy who is supposed to be in love with me, hanging out with Dianna, eating chocolate croissants,and making a video inspired by of one of my all-time favorite films, An American in Paris… I don’t know, it was a hard sell.
And working with Dianna was…
Directing seemed to be so easy for Dianna. Whenever a problem arose she seemed to instantly find a solution without comprising her vision. It was amazing. Plus, she was fun. And we laughed a lot.
One fun behind-the-scenes moment from filming…
It was cold outside, so between takes I would wear one of the hotel bathrobes over my clothes. It was kind of funny walking around Paris in a bathrobe and slippers. (The slippers were to avoid wearing heels.)
My pre-filming rituals…
I am always listening to music on set. I make very specific character playlists. I also keep a character journal — I am a dork.
My first time in Paris…
When I was 16 I had this very odd cinematic moment in Paris. I met a boy on a “go see” and we talked in the waiting room and flirted a bit. And then I was called into my meeting and he into his, so we parted. But then later that day I saw him at the train station and he walked up to me and pop kissed me and walked away. It makes me laugh just thinking about it.
And the Margaret Qualley guide to Paris would include stops at…
A visit to my favorite museum, Jeu de Paume, reading A Moveable Feast in Brasserie Lipp as an homage to Hemingway, drinking hot chocolate at Angelina, browsing books at Shakespeare & Company, and visiting ghosts at Père Lachaise.
Memorable moment from my days as a model…
Well, I wasn’t working very much as a model in New York and then my first day in Paris I had a “go see” at Chanel and was hired to walk for them. So, that was very exciting to me. I did a shoot with Karl Lagerfeld in his library after the show and I just remember being so excited that I got to check out all the books while I waited. You ask me for a fun memory of modeling, I tell you about the time I got to hang out in a library. But I swear, it is a remarkable library.
My personal style…
Pretty relaxed.
Greatest influence in my life…
Probably my sister, Rainey. She is one of my soul mates.
Best advice received from my mom, Andie MacDowell…
To breathe.
What’s next…
I just finished shooting The Nice Guys directed by Shane Black. It was my first movie and I got to work with Russell Crowe and Ryan Gosling, so that was hugely exciting for me.
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Watch the film L’Américaine.
Read the Q&A with director Dianna Agron.
Margaret Qualley, fille de l’actrice Andie MacDowell, fait tourner les têtes depuis le jour où on l’a découverte. Celle qui a défilé pour de grandes maisons, comme Chanel et Valentino, joue actuellement dans la série HBO The Leftovers, dont la deuxième saison débute le mois prochain. Pour Tory Burch, elle porte la collection Paris dans le film L’Américaine. Nous l’avons rencontrée pour discuter du film, de ses mantras et de Paris, bien sûr.
J’ai eu envie de participer à ce projet parce que…
Pour aller à Paris, jouer avec un joli garçon français qui est censé être amoureux de moi, passer du temps avec Dianna, manger des pains au chocolat, jouer dans un film inspiré de l’un de mes films cultes, Un Américain à Paris. Comme vous vous en doutez, je ne me suis pas fait prier!
Travailler avec Dianna…
Dianna est incroyablement à l’aise dans son rôle de réalisatrice. Chaque fois qu’une difficulté se présentait, elle trouvait immédiatement une solution, sans renoncer à quoi que ce soit. C’était impressionnant. En plus, elle est drôle. Nous avons beaucoup ri.
Un moment décalé pendant le tournage…
Comme il faisait froid dehors, j’enfilais un peignoir d’hôtel sur ma tenue, entre les scènes. C’était rigolo de déambuler dans Paris en peignoir et pantoufles (pour ne pas avoir à porter de talons).
Mes rituels avant le tournage…
J’écoute toujours de la musique sur le plateau. Je me crée des playlists propres au personnage. Je tiens également le journal intime du personnage. Je suis bizarre, je sais!
Ma première fois à Paris…
J’avais 16 ans, et j’ai vécu cette aventure très cinématographique. J’ai rencontré un garçon lors d’un casting. Alors que nous attendions notre tour, nous avons flirté un peu. Ensuite, j’ai été appelée, et lui aussi, et nous nous sommes dit au revoir. Mais, plus tard dans la journée, je l’ai revu à la gare, il s’est avancé vers moi, m’a embrassée et a disparu. Cela me fait rire, rien que d’y repenser.
Que fait Margaret Qualley quand elle vient à Paris…
J’adore aller au Jeu de Paume, lire Paris est une fête à la Brasserie Lipp, en hommage à Hemingway, boire un chocolat chaud chez Angelina, faire un tour à la librairie Shakespeare & Company, saluer les fantômes du Père Lachaise…
Une anecdote, en tant que mannequin…
Eh bien, je n’avais pas beaucoup d’expérience à New York, mais dès que je suis arrivée à Paris, j’ai passé un casting pour Chanel et j’ai été retenue pour le défilé. J’étais très excitée. Après le défilé, j’ai posé pour Karl Lagerfeld dans sa bibliothèque. Et je me souviens avoir passé en revue tous ses livres. Vous me parlez mannequinat et je vous réponds bouquins! Mais je vous jure que sa collection de livres est remarquable.
Mon style personnel…
Décontracté.
La personne qui m’influence le plus…
Sans doute ma sœur Rainey. Je la considère comme une âme sœur.
Meilleur conseil reçu de la part de ma maman, Andie MacDowell…
Respirer.
Mes projets…
Je viens juste de terminer le tournage de The Nice Guys, réalisé par Shane Black. Pour mon premier film, j’ai eu la chance incroyable de travailler avec Russell Crowe et Ryan Gosling. Je n’en reviens pas.
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